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Sphyxion

s/t
2016-05-03

11 tracks, CD & digital
Music and drawings by Frédéric & Olivier Charlot
ANYCD013. © 2016, Anywave æ

The parisian duet Maninkari started their project Sphyxion in 2011 as they wanted to reconnect with their minimal/cold/new wave influences (Mute Records from the early 80s, 4AD and Stevo's Some Bizarre are part of their references).
For 3 years the band kept experimenting until they delivered the final version of this retro-futuristic music, exploring the tension between past and future.
The album is a sort of fiction about events that may have happened but somehow didn't.
The structure of each track evolves around repetitive patterns in which the drum machine is predominant and brings along nostalgic, minor tones.
Drones are mixed up in some tracks, creating variations in the mood of each tune. Voice samples emerge regularly, appearing like a collection of haunted lasting memories.

 


Reviews

Wavepress (Poland)

Hartzine (France)
“Si la musique est un message, envoyons celui-ci au-delà de la stratosphère.”

Foutraque (France)
“Entre les styles du label Warp (Boards Of Canada/Plaid), Coil, Trisomie 21 (avec son titre La Fête Triste), Tangerine Dream et Brian Eno, la musique nous emporte dans un état d’apesanteur des plus agréables situé quelque part entre le vide du ciel et de la terre. Les titres sont enchainés comme les chapitres d’un voyage mental dans lequel rien ne pourra nous perturber. Les sons ont une mélodie planante des plus prenantes. (...) Aucune lassitude, ni de monotonie, l’album est captivant. Derrière chaque porte, on est sûr d’entendre des sons étonnants et obsédants. Une fois à l’intérieur de la bâtisse, aucune envie d’en sortir. Tentez l’expérience, vous ne serez pas déçu.”

Peek A Boo (Belgium)
“It is mysterious, incantatory music and at times captivating. Every song feels like a hammer that falls on your chest.”

Flux Webzine (Italy)
“An hypnotic work where the loop and the droning movements are the leitmotifs of a musical journey that guides us through the evocation of dystopian landscapes, without any dramatic or apocalyptic elements.”

Trois Couleurs (France)
“Frédéric et Olivier Charlot, les deux Parisiens de Maninkari, n'ont pas peur de batailler dans l'enfer des signes pour faire surgir les sons de notre époque. Avec le projet Sphyxion, ils se replient sur les boîtes à rythmes et les synthétiseurs pour en tirer de merveilleuses dissonances qui attaquent les zones de nos cerveaux nécrosées par les jobs à la con et les concours de bites virtuels. Ça fait mal, parfois, mais c'est pour notre bien.”

Scholomance (France)
“Les morceaux de cet album sont en réalité de véritables bouffés d'un air originel. Sec certes, mais d'une pureté virginale.”

Feardrop (France)
Sphyxion joue une musique que l’on qualifierait sans scandale de rétrofuturiste, empruntant à la cold wave et aux synthétiseurs minimaux des pionniers cosmiques. L’extérieur intérieur, le « désintégré réintégré » de Moebius, voilà peut-être de quoi ce rêve synthétique des jumeaux est le paysage.

Songazine (France)
“Onze plages instrumentales et synthétiques, évocatrices et prophétiques. Ici, partout : des nappes glacées lancées par des machines froides à claviers marmoréens et des rythmes simples mais entêtants, un afflux de boucles qui se répètent pour finir par se noyer dans un écho cotonneux.”

Droguiste (France)
“Place au bruit, à la décadence satanique, aux cascades de sons qui joutent avec les crissements et les percolations rythmiques.”